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Etude de la convergence au niveau de la côte chilienne

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Premier point étudié, l’Ile de Pâques.

Le fichier format_graphe.xls étant ouvert (lire attentivement son mode d’emploi), ouvrir depuis Excel le fichier eisl.lon.
Cliquer sur fin.
Déclencher les macros.

Le tracé est très irrégulier mais une tendance à long terme se dégage. Celle-ci est visualisée par la courbe de régression qui est une droite de type y = ax + b. L’équation de la courbe est aussi calculée par le logiciel et son coefficient directeur donne la vitesse moyenne de déplacement du point en cm/an.

Un nombre positif en longitude signifie un déplacement vers l’est.
Ici, l’Ile de Pâques se déplace en moyenne d’environ 6,7 cm/an vers l’est.

Le même travail fait en ouvrant le fichier eisl.lat dans Excel et après utilisation du fichier format_graphe.xls donne le résultat suivant :

Un nombre négatif en latitude signifie un déplacement vers le sud. Ici, l’Ile de Pâques se déplace en moyenne d’environ 0,7 cm/an vers le sud.

Deuxième point étudié, Santiago du Chili.

Le fichier format_graphe.xls étant ouvert (lire attentivement son mode d’emploi), ouvrir depuis Excel le fichier sant.lon.
Cliquer sur fin.
Déclencher les macros.

Le tracé obtenu est le suivant :

Santiago se déplace en moyenne d’environ 1,9 cm/an vers l’est.

Le même travail fait en ouvrant le fichier sant.lat donne le résultat suivant :

Le déplacement est ici vers le nord et il est, en moyenne, d’environ 1,6 cm/an.

Bilan.

On peut tracer les vecteurs sur une carte pour voir les déplacements absolus, ce qui donne :

Si l’on ne tient compte que des déplacements en longitude, le déplacement relatif de l’Ile de Pâques représentant la plaque de Nazca par rapport à la côte chilienne est de 6,7 - 1,9 = 4,8 cm/an ce qui indique la vitesse de subduction.

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