Ce bâtiment conçu par l’architecte Bruno d’YVOIRE s’inspire pour son aspect extérieur de la géologie locale :
– le béton sombre du rez-de-chaussée évoque l’environnement immédiat du musée, le calcaire à gryphées ; – le béton ocre jaune du premier étage rappelle la pierre dorée qui donne son nom à notre région et dont la coloration est due à la présence d’oxyde de fer au sein du calcaire ; – le béton clair du dernier étage évoque la pierre de Lucenay, calcaire oolithique blanchâtre du Bathonien qui a été exploité comme pierre à construction et extrait dans des carrières situées entre Morancé et Anse. |
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La cage d’ascenseur et le décrochement des étages donnent une impression de mouvement et évoquent la faille de tension (faille normale) présente sur le site. Le bâtiment est disposé d’une manière telle, par rapport à la falaise rocheuse, qu’il évoque un bateau à quai : l’Arche de Noé. En effet, à l’intérieur de ce dernier, le visiteur pourra découvrir des formes fossiles de la vie. |
Architecture du musée Espace Pierres Folles
Publié le 10 juin 2008
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